Bio

Virna Nova

Virna Nova vit en musique. Respire en musique. Parle, chante, aime en musique. Et la musique, soleil vital, brille de mille feux dans le cœur de sa guitare. 

Elle a 5 ans quand elle la rencontre, sa guitare, du côté de Toulon. Coup de foudre réciproque. Rien de mieux qu’une guitare pour que la vie bascule. Virna plonge dans le classique, fait ses gammes, apprend le solfège, et passe en virtuose la grande porte du CNSM de Paris, où elle décroche bientôt le Premier Prix. 

Le monde s’ouvre enfin, tam-tam du vent dans les arbres, shékéré des vagues sur le sable… Et la musique l’appelle de partout. 

Alors, guitare sous le bras, elle laisse tomber ses partitions et ses gammes, et prend la tangente, droit vers l’horizon, droit vers le Brésil, où bat le cœur des guitares. Là, elle désapprend, réapprend tout, en écoutant à son tour ce qui bat en elle, au carrefour exact de toutes les rencontres. Celle de Manou Gallo, d’abord, qui l’embarque avec elle autour du monde. Puis celles de Wyclef Jean, Ahmed Soultan, Tryo, Yael Naïm… La guitare de Virna Nova, gorgée de soleil, fait merveille, et lui souffle bientôt ses premiers titres, ses premières compos. 

Son nouvel album, « Keep on », co-réalisé avec le groover en chef Julien Daian, lui ressemble. Dans le shaker à musique, une pincée de soul, un soupçon de pop, un zeste de jazz, secoués par les rythmes des Tropiques, et servis dans toute leur fraîcheur live, comme elle aime. Quelques notes du maître gnawa Hamid El Kesri, aussi, qu’on a entendu avec Joe Zawinul ou Jacob Collier, et qui vient comme un mage offrir les parfums du Maroc. Un son plus organique, plus authentique, plus chaleureux, pour raconter les voyages du cœur et de l’âme, et dire en chansons l’intime et les passions. 

En français, en anglais, en portugais, et dans toutes les langues que parle la musique, « Keep on » fait briller la lumière des étés qui ne finiront jamais.